La poutre à âme pleine est un choix économique pour la construction avec de longues travées. Les poutre à âme pleine en acier avec section en I ont généralement une âme profonde pour tirer le meilleur parti de leur résistance au cisaillement et de l'espacement entre les semelles, mais l'âme est mince pour réduire le poids propre. En raison de son important rapport hauteur/épaisseur (h/tw), des raidisseurs transversaux peuvent être nécessaires pour rigidifier l'âme élancée.
La parution de la norme ACI 318-19 a redéfini des règles utilisées depuis plusieurs années pour la détermination de la résistance au cisaillement Vc du béton. Dans cette nouvelle méthode, la hauteur de barre, le ratio d'armatures longitudinales et la contrainte normale influencent désormais la résistance au cisaillement Vc. Cet article technique de la base de connaissance Dlubal décrit les modifications apportées à la vérification du cisaillement, illustrées à l'aide d'un exemple.
Selon l'EN 1992-1-1 [1], une poutre est une barre dont la portée n'est pas inférieure à 3 fois la hauteur totale de la section. Sinon, l'élément structural doit être considéré comme une poutre-voile. Le comportement des poutres-voiles (c'est-à-dire les poutres dont la travée est inférieure à 3 fois la profondeur de section) est différent de celui des poutres normales (c'est-à-dire les poutres dont la travée est 3 fois supérieure à la profondeur de section).
Cependant, le calcul des poutres-voiles est souvent nécessaire lors de l'analyse des composants structuraux des structures en béton armé, car elles sont utilisées pour les linteaux de fenêtres et de portes, les poutres relevées et les retombées de poutre, la connexion entre les dalles à deux niveaux et les systèmes de portiques.
Lorsqu'on veut insérer une barre à inertie variable avec des nœuds intermédiaires dans un modèle RFEM existant, il faut souvent pouvoir déterminer rapidement la hauteur de chaque section de cette barre. La fonction « Connecter les lignes ou les barres » s'avère alors très utile.
Une vérification standardisée a été introduite pour les analyses de stabilité avec la méthode générale de l'EN 1993-1-1. Elle peut être utilisée pour les systèmes 1D avec des conditions aux limites et d'une hauteur quelconques. Les vérifications peuvent être effectuées pour un chargement et une compression appliqués au même moment dans le plan de l'appui principal. Les cas de stabilité du flambement latéral et du déversement sont analysés à partir de ce plan, c'est-à-dire autour de l'axe faible du composant. Häufig stellt sich daher die Frage, wie in diesem Zusammenhang Biegeknicken in der Haupttragebene nachgewiesen werden kann.
La parution de la norme ACI 318-19 a redéfini des règles utilisées depuis plusieurs années pour la détermination de la résistance au cisaillement Vc du béton. Dans cette nouvelle méthode, la hauteur de barre, le pourcentage des armatures longitudinales et la contrainte normale influencent désormais la résistance au cisaillement Vc. Cet article technique décrit les modifications apportées à la vérification du cisaillement, illustrées à l'aide d'un exemple.
Cet article compare la pression du vent appliquée sur un bâtiment de grande hauteur obtenue d'après des calculs effectués dans RWIND Simulation aux résultats de l'article d'A. K. Dagnew et al. publié lors de la 11e Conférence américaine sur le génie éolien (Americas Conference on Wind Engineering) en juin 2009.
Les résultats de l'action du vent sur un bâtiment de la Commission de la recherche aéronautique du Commonwealth (Commonwealth Advisory Aeronautical Council, CAARC) sont ici comparés selon différentes méthodes numériques avec les données expérimentales basées sur des essais en soufflerie.
Les bâtiment ont souvent des annexes. Si leurs toitures présentent une différence de hauteur supérieure à 0,5 m, ce paramètre doit être pris en compte pour l'hypothèse de charge de neige.
Les charges de vent sont réglementées selon l'Eurocode 1 - Actions sur les structures - Partie 1-4 : Actions générales - Charges de vent. Les paramètres déterminés localement pour chaque pays sont disponibles dans l'Annexe nationale correspondante.
Le vent est la seule charge climatique agissant sur toute forme de structure dans tous les pays au monde, contrairement à la neige. Son ampleur varie selon sa localisation géographique. C’est l’une des raisons principales qui justifient aujourd’hui dans les normes, le découpage régional (zone de vent) et la considération de l’altitude, ainsi que la variation des pressions dynamiques en fonction de la hauteur au-dessus du sol pour un site "normal", sans effet de masque.
Pour la vérification à l'état limite ultime, les sections 2.2.2 et 4.4.2.2 [1] de l'EN 1998-1 requièrent le calcul en considérant la théorie du second ordre (effet P-Δ). Cet effet ne doit être pris en compte que si le coefficient de sensibilité du déplacement entre étages θ est inférieur à 0,1. Le coefficient θ est défini comme suit :$$\mathrm\theta\;=\;\frac{\displaystyle{\mathrm P}_\mathrm{tot}\;\cdot\;{\mathrm d}_\mathrm r }{{\mathrm V}_\mathrm{tot}\;\cdot\;\mathrm h}\;(1)$$mitθ = coefficient de sensibilité du déplacement entre étagesPtot = charge de gravité totale sur et au-dessus de l'étage considéré, considéré en la situation de projet Séisme (voir l'équation 2) dr = déplacement relatif de l'étage déterminé comme la différence entre les déplacements horizontaux dS du haut et du bas de l'étage considéré, les déplacements sont ici déterminés à l'aide du spectre de réponse de calcul linéaire avec q = 1,0 Vtot = charge sismique totale de l'étage considéré avec le spectre de réponse linéaire de calculh = hauteur de l'étage